LASCAUX 3.0 est la projection sur le web d'éléments visuels et artistiques
dans des relations aléatoires et renouvelées.
La compression de l'image video nuit au travail de la matière des pixels et des trames,[voir],[voir],[voir]. Ces éléments, dans une video, sont "brouillés" par la nature élastique et la compression de l'image video; mais, en contrepartie, le rythme est perceptible. La video étant un enregistrement, elle se répète. Le programme, lui, crée des combinaisons à l'infini.
Ce que donnerait une triple projection : le programme qui ne s'exécute jamais de la même manière, lu par trois sources, donnerait des résultats différents
Pascal Perennec | Béatrice LeGrand
#1 | #2 | #3 (from desktop app)
Le développement s‘est poursuivi après 2010 par une version "en dur" (application autonome plus contrôlable) réalisée à l'aide de Processing.
Dernière projection publique: exposition "Quoi de 9", Sept 2012, Quimper [].
Merci pour leur autorisation ou participation à Virginie Yassef, Léonard de Vinci (1452-1519), Titien (1490-1576), Alfred Stieglitz (1864-1946), Aristide Maillol (1861-1944), Jerry Siegel (1914-1996), Joe Shuster (1914-1992), sculpteurs anonymes du XIe , peintres oubliés du XIIe, taggeur anonyme du XXe.
I enjoyed seeing your "lascaux3.0" work very much. Very fresh. Very dynamic. Thanks for posting. Terry Twyman, Memphis, TN USA, 2011.
I'm not a digital/photo person and I don't know how you do these, but they are fascinating and when projected I can imagine that they are better than much film - sort of more like living within the imagery itself. If you are ever in NC, come project on one of our big outside walls and we will shower you with southern hospitality. Whitney Peckman, NC, USA, 2010.
Je pense que je n’ai pas vu tout. c’est incroyable comme univers ! J’ai rigolé aussi (...). je trouve ce travail balaise. Et ce Lascaux 3 comme tu me fais rire et que c’est bien ces prises de position et de vue avec humour ! Sauf que ça caillait, que c’est mal indiqué pour trouver si on ne sait pas bien par avance, et que je “veux” le même au printemps quand les soirées sont douces et je me pose avec mon transat ! Françoise Le Corre, Semur, 2009
